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Combatting Cocaine Production in Bolivia, Colombia and Peru

Destroying coca plants in the lush mountains in Medellin, Colombia. Photo by Viewpress. Copyright Demotix (05/30/2012)
Destroying coca plants in the lush mountains in Medellin, Colombia. Photo by Viewpress. Copyright Demotix (05/30/2012)

The coca plant is native to the Andes. Its bush has been cultivated and traditionally consumed by local people for centuries. Many products and the leaves themselves can be legally purchased in Peru and Bolivia.

However, coca leaves are also the raw material for the production of cocaine. As a result, Peru, Colombia and Bolivia are the three largest illegal cocaine producing countries in the world.

According to the UNODC World Drug Report 2012 there was an overall decline in global production of cocaine between 2006 and 2010. This was in part due to the reduction of coca bush cultivation in Colombia. In spite of this, the report also underlines that in the same period coca bush cultivation and cocaine production actually increased in Bolivia and Peru.

La lutte contre la production de cocaïne en Bolivie, en Colombie et au Pérou

La coca est une plante de la Cordillère des Andes. Elle est traditionnellement cultivée et consommée par les populations locales depuis des siècles. De nombreux produits dérivés et les feuilles elles-mêmes peuvent être légalement achetées au Pérou et en Bolivie.

Toutefois, les feuilles de coca sont aussi la matière première de la cocaïne. Le Pérou, la Colombie et la Bolivie sont donc les trois plus grands pays producteurs de cocaïne illicite du monde.

D’après le Rapport mondial sur les drogues 2012, on note une baisse globale de la production mondiale de cocaïne entre 2006 et 2010. Cela est en partie dû à la réduction de la culture de la coca en Colombie. Malgré cela, le rapport souligne également que durant la même période la culture de la coca et la production de cocaïne ont augmenté en Bolivie et au Pérou.

Destroying coca plants in the lush mountains in Medellin, Colombia. Photo by Viewpress. Copyright Demotix (05/30/2012)
Destruction des plantations de coca dans les montagnes autour de Medellin, en Colombie. Photo de Viewpress. Droits d’auteur Demotix (30/05/2012)

La production et le trafic de drogue sont des problèmes majeurs en Amérique latine, que les gouvernements ne cessent de traiter. Et lors du dernier Sommet des Amériques [anglais] au mois d’avril beaucoup étaient d’avis que la guerre contre la drogue menée par les Etats-Unis est un échec.

Plan Colombie

Ricardo Vargas, chercheur au TNI [espagnol] et expert de premier plan pour le trafic de drogue en Colombie, déclare que le Plan Colombie – la stratégie anti-drogue financée par les Etats-Unis – a dépensé plus de 8 milliards de dollars américains pour renforcer l’armée et mener des actions militaires contre les groupes rebelles liés au trafic.

Ricardo Vargas a fait valoir, dans une interview, qu’au-delà de la violence :

“El gran problema es que la oferta y el tráfico son los grandes temas ausentes en estos debates. Y Colombia es un país básicamente de producción, de procesamiento y de tráfico. Lo que quiere decir que el país aún no ha entrado a analizar a fondo la dimensión más importante que le compete. Con el agravante de que la dimensión de la oferta y el tráfico termina siendo reemplazado por un tema de seguridad.”

Le gros problème est que les questions de l’offre et le trafic sont les grands absents de ces débats. La Colombie est essentiellement un pays qui produit, traite et fait de la contrebande, ce qui signifie que le pays n’a toujours pas commencé à analyser en profondeur la dimension la plus importante de sa responsabilité Avec la dimension supplémentaire que l’offre et le trafic finissent par être remplacés par des préoccupations sécuritaires.

Bolivie : le nouveau bataillon écologique

Le président bolivien Evo Morales déclarait récemment que le trafic de drogue est l’un des défis majeurs et a également annoncé un nouveau “bataillon écologique” : un groupe de travail visant à empêcher la culture illégale de la coca dans les parcs nationaux.

Cependant, le journaliste et blogueur de La Paz Andres Gomez remarque une importante contradiction [espagnol] dans le discours du président :

“La ONU alertó que el 93 por ciento de la hoja de coca del Chapare se va al mercado ilegal (por no decir narcotráfico), e informó que en el país hay más de 30 mil hectáreas.

Recientemente, una investigación del Centro Latinoamericano de Investigación (CELIN) certificó que el país apenas requiere alrededor de 8 mil hectáreas para el consumo tradicional (acullicu y uso medicinal) de la hoja de coca. Según la Ley 1008, que todavía rige, en el país debiera haber apenas 12 mil hectáreas, pero hay más de 30 mil.

el presidente Morales reconoce que el narcotráfico es un problema para el gobierno de Bolivia, pero el presidente de las federaciones cocaleras, que es la misma persona, defiende la producción de sus bases, cuyo destino principal es el mercado ilegal.”

L’ONU a prévenu que 93 pour cent des feuilles de coca de la région du Chapare vont au marché illégal (pour ne pas dire de la drogue), et a indiqué que le pays compte plus de 30 milles hectares de plantation.Récemment, une enquête latino-américaine (CELIN) a conclu que le pays n’a besoin que d’environ 8 milles hectares pour la consommation traditionnelle (« mastication » et utilisation médicinale) de la feuille de coca. Conformément à la loi 1008 encore en vigueur, le pays ne devrait avoir que 12 milles hectares, mais il y en a plus de 30 000.

Le président Morales reconnaît que le trafic de drogue est un problème pour le gouvernement bolivien, mais le président de la Fédération des producteurs de coca – il s’agit de la même personne – défend la production de son syndicat (de la coca), dont le principal débouché est le marché illicite.

Pérou : un couloir de contrebande

Depuis 2010, le Pérou est le plus grand producteur de cocaïne pure du monde. L’un des défis majeurs des autorités péruviennes est le nombre croissant de routes qu’emprunte le trafic de cocaïne.

Selon l’analyste Alfredo Palacios Dongo, ancien commandant en chef de l’armée péruvienne et blogueur sur Planteamientos Peru [espagnol] :

“Las rutas internacionales de la cocaína desde el Perú, además de hacia el corredor entre Centroamérica y México hasta EE UU, está aumentando sus envíos hacia Brasil, Argentina, Chile y Bolivia. […] Brasil, país con gran demanda de droga –segundo consumidor mundial con 11 millones de consumidores, después de EE UU, con 22,6 millones–, y que además tiene una epidemia de “crack””

Les itinéraires internationaux de la cocaïne en provenance du Pérou, en plus du corridor entre l’Amérique centrale et le Mexique menant aux États-Unis, augmentent leurs expéditions vers le Brésil, l’Argentine, le Chili et la Bolivie […] Le Brésil, un pays ayant une forte demande de drogue – le second, avec 11 millions de consommateurs après les Etats-Unis et leurs 22,6 millions – souffre également d’une épidémie de « crack ».

Communauté andine et initiatives conjointes

La Communauté andine [anglais] met actuellement en oeuvre le Programme de lutte contre les drogues illégales (PRADICAN) [espagnol], un projet financé par l’Europe qui a pour but la standardisation des informations statistiques sur la production, le trafic et la consommation de drogues dans les Andes, ainsi que de coordonner les réponses des Etats membres.

La Communauté andine stipule [espagnol] qu’une approche globale est nécessaire, en ciblant principalement les mesures suivantes :

  • en priorité, bloquer la route empruntée par les trafiquants de drogue,
  • la « phase [du trafic] qui génère le plus de valeur ajoutée dans le prix final de la drogue »,
  • réduire l’accès aux fournitures et précurseurs de drogues,
  • s’attaquer au problème de la drogue comme un problème de santé publique et non pas seulement comme une guerre violente,
  • des actions conjointes pour à la fois couper les sources de financement illégales et se doter de systèmes de surveillance et d’alerte précoce contre les réseaux de trafic de drogue.

For further information on the topic, please view the following publications from our partners:

Latin America and the Caribbean: Illicit Drug Trafficking and US Counterdrug Programsfrom the Congressional Research Service (CRS), Washington DC, United States.

Mexico’s Drug Trafficking Organizations: Source and Scope of the Rising Violence,  from the Congressional Research Service (CRS), Washington DC, United States.

Guatemala: Drug Trafficking and Violencefrom the International Crisis Group, Brussels, Belgium.


For more information on issues and events that shape our world please visit the ISN’s Security Watch and Editorial Plan Dossiers.

Combatiendo la producción de cocaína en Bolivia, Colombia y Perú

La planta de la coca es nativa de los Andes. Ha sido cultivada y consumida tradicionalmente por los pueblos locales durante siglos. Muchos productos derivados así como la propia hoja de coca pueden ser adquiridos legalmente en el Perú y Bolivia.

Sin embargo, las hojas de la coca son también la materia prima para la producción de cocaína. Como resultado, Perú, Colombia y Bolivia son los tres principales países productores de cocaína ilegal en el mundo.

Según el Informe Mundial sobre Drogas 2012 de la ONUDD se ha producido un descenso general de la producción mundial de cocaína entre 2006-2010. Esto se debió en parte a la reducción del cultivo del arbusto de coca en Colombia. A pesar de ello, el informe también destaca que en el mismo período el cultivo del arbusto de coca y la producción de cocaína ha aumentado en Bolivia y Perú.

Destroying coca plants in the lush mountains in Medellin, Colombia. Photo by Viewpress. Copyright Demotix (05/30/2012)
Destrucción de plantas de coca en las montañas alrededor de Medellin, Colombia. Foto de Viewpress. Copyright Demotix (05/30/2012)

La producción y el tráfico de drogas es un problema importante en América Latina que los gobiernos están permanentemente tratando de resolver. Y en la Cumbre de las Américas del pasado mes de abril, muchos eran de la opinión que la guerra encabezada por Estados Unidos contra las drogas ha fracasado.

Plan Colombia

Ricardo Vargas, investigador del TNI y un importante experto sobre el tráfico de drogas en Colombia, señala que el Plan Colombia, la estrategia antidrogas financiada por los EE.UU., gastó más de 8 mil millones de dólares en el Fortalecimiento del ejército y la realización de acciones militares contra los grupos insurgentes vinculados con el narcotráfico.

Vargas sostuvo en una entrevista que más allá de la violencia:

“El gran problema es que la oferta y el tráfico son los grandes temas ausentes en estos debates. Y Colombia es un país básicamente de producción, de procesamiento y de tráfico. Lo que quiere decir que el país aún no ha entrado a analizar a fondo la dimensión más importante que le compete. Con el agravante de que la dimensión de la oferta y el tráfico termina siendo reemplazado por un tema de seguridad.”

El nuevo batallón ecológico de Bolivia

El presidente de Bolivia, Evo Morales, declaró recientemente que el narcotráfico es uno de los retos más importantes y también anunció un nuevo batallón ecológico, una fuerza especial que tiene por objeto prevenir el cultivo ilegal de coca en los Parques Nacionales.

Sin embargo, el periodista y blogger residente en La Paz, Andrés Gómez, señala una profunda contradicción en el discurso del presidente:

“La ONU alertó que el 93 por ciento de la hoja de coca del Chapare se va al mercado ilegal (por no decir narcotráfico), e informó que en el país hay más de 30 mil hectáreas.

Recientemente, una investigación del Centro Latinoamericano de Investigación (CELIN) certificó que el país apenas requiere alrededor de 8 mil hectáreas para el consumo tradicional (acullicu y uso medicinal) de la hoja de coca. Según la Ley 1008, que todavía rige, en el país debiera haber apenas 12 mil hectáreas, pero hay más de 30 mil.

el presidente Morales reconoce que el narcotráfico es un problema para el gobierno de Bolivia, pero el presidente de las federaciones cocaleras, que es la misma persona, defiende la producción de sus bases, cuyo destino principal es el mercado ilegal.”

Perú, la ruta del tráfico

Desde el año 2010 el Perú es el mayor productor de cocaína pura en el mundo. Uno de los mayores retos para las autoridades peruanas es el número cada vez mayor de rutas del tráfico de cocaína.

De acuerdo al analista Alfredo Palacios Dongo, ex Comandante General de la Marina Peruana, y autor del blog Planteamientos Peru:

“Las rutas internacionales de la cocaína desde el Perú, además de hacia el corredor entre Centroamérica y México hasta EE UU, está aumentando sus envíos hacia Brasil, Argentina, Chile y Bolivia. […] Brasil, país con gran demanda de droga –segundo consumidor mundial con 11 millones de consumidores, después de EE UU, con 22,6 millones–, y que además tiene una epidemia de “crack””

La Comunidad Andina e iniciativas conjuntas

La Comunidad Andina está llevando a cabo el Programa anti drogas ilícitas (PRADICAN), un proyecto financiado con fondos europeos que estandarizar información estadística sobre la producción, tráfico y consumo de drogas en los Andes, así como coordinar las respuestas de los estados miembros.

La Comunidad Andina señala que se necesita un planteamiento integral, apuntando primeramente las siguientes medidas:

  • como cuestión de prioridad, el bloqueo de las carreteras utilizada por los traficantes de drogas
  • el tráfico es la “fase que genera el mayor valor añadido en el precio final de las drogas”
  • reducir el acceso a los suministros y precursores químicos
  • abordar el tema de las drogas como un problema de salud pública y no sólo como una guerra violenta
  • acciones conjuntas con el fin tanto de cortar los flujos de financiación ilegal y sistemas de inteligencia y alerta temprana contra las redes de tráfico de drogas.

For further information on the topic, please view the following publications from our partners:

Latin America and the Caribbean: Illicit Drug Trafficking and US Counterdrug Programsfrom the Congressional Research Service (CRS), Washington DC, United States.

Mexico’s Drug Trafficking Organizations: Source and Scope of the Rising Violence,  from the Congressional Research Service (CRS), Washington DC, United States.

Guatemala: Drug Trafficking and Violencefrom the International Crisis Group, Brussels, Belgium.


For more information on issues and events that shape our world please visit the ISN’s Security Watch and Editorial Plan Dossiers.

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Pakistan: The Long Road to Peace and Security

Flags flying in Pakistan on the occasion of Independence Day. Flickr photo by Ejaz Asi, CC BY-NC 2.0

As Pakistan enters its 66th year of independence, -it is a good time to take stock of the country’s internal security dynamics in order to understand how these impact upon the overall security and stability of South Asia.

According to the Pakistan Institute for Peace Studies’ (PIPS) Pakistan Security Report, 2011 [pdf], while the country continues to rank “among the most volatile regions in the world”, there has been some improvement in its overall security situation, especially since the later part of 2011. The report states:

“The last half of the year 2011 was a period of comparative peace in Pakistan in terms of internal armed conflict, acts of terrorism and the consequent casualties. A decrease in the number of suicide attacks and drone strikes were the major contributing factors… the security situation is slowly improving as violence has decreased 24 percent in the last two years.”

Pakistán: el largo camino a la paz y la seguridad

Mientras Pakistán entra en su año 66 como país independiente, es un buen momento para hacer un balance de la situación de seguridad en el país – con el fin de comprender el papel que la nación sigue desempeñando en la seguridad global y la estabilidad de la región.

Según el Informe de Seguridad de Pakistán, 2011 [en, pdf] publicado por el Instituto de Pakistán para Estudios de Paz (PIPS), aunque Pakistán sigue siendo “una de las regiones más volátiles del mundo”, ha habido una cierta mejora en la situación general de seguridad en el país, especialmente desde la última parte del 2011. El informe dice:

“La segunda mitad del año 2011 fue un período de relativa paz en Pakistán en términos del conflicto armado interno, los actos de terrorismo y las muertes resultantes. Una disminución en el número de atentados suicidas y ataques con aviones no tripulados fueron los principales factores contribuyentes … la situación de seguridad está mejorando poco a poco mientras la violencia ha disminuido en un 24 por ciento en los últimos dos años.”

Dado que el país ha experimentado un fuerte descenso [en] en las muertes causadas por ataques suicidas y que no ha habido ataques terroristas importantes en las grandes ciudades o en la capital en 2012, el cambio en la situación general de seguridad parece significativo, sobre todo si se compara con 2009 – 2011, que fue mortal en Karachi, Lahore e Islamabad.

Banderas flameando en Pakistán con ocasión del Día de la Independencia. Foto en Flickr de Ejaz Asi, CC BY-NC 2.0

Sin embargo, no es momento para la complacencia. El 16 de agosto de 2012, una base militar de alto valor justo fuera de la capital Islamabad fue atacada [en] por hombres armados. Fuerzas especiales de Pakistán controlaron la situación en cinco horas y las muertes fueron en su mayoría del lado militante.

Tres días después, el gobierno emitió una prohibición general de servicios de celulares [en] durante 15 horas en las cuatro principales ciudades – incluyendo Karachi y Lahore – en la fiesta islámica de Eid-ul-Fitr, debido a las amenazas de seguridad dignas de crédito que habían recibido.

Estos últimos acontecimientos demuestran que pese a las afirmaciones efectuadas en mayo de 2012 por el entonces primer ministro de Pakistán – Yousuf Raza Gilani, que las preocupaciones por la situación de seguridad en Pakistán fueron “exageradas” [en], la situación sobre el terreno sigue siendo frágil y la mejora en la situación de seguridad no es general.

Los ‘asesinatos dirigidos’ [en] continúan en muchas partes del país. Karachi sigue sufriendo su parte de violencia étnica y política [en] mientras una lucha territorial hace estragos desde el 2010 [en]. La violencia continúa persiguiendo a las Áreas Tribales bajo Administración Federal (FATA) y a Khyber Pakhtunkhwa (KP), incluyendo su capital Peshawar. Estas zonas siguen soportando el peso de la participación de Pakistán en la Guerra contra el Terrorismo.

Baluchistán permanece bajo control de la insurgencia, con el gobierno aún incapaz de proporcionar una solución sostenible y aceptable para atender las quejas de la región. Más bien, como el periodista y blogger paquistaní Malik Siraj Akbar ha señalado [en], la violencia se intensificó a principios de 2012 después de “una audiencia sin precedentes [en] del Comité de Asuntos Exteriores del Congreso de los EE.UU., que expresó su profunda preocupación por las atroces violaciones de derechos humanos presuntamente cometidas por el ejército en la mayor provincia de Baluchistán.”

Esta infografía publicada en el Reporte de Seguridad de Pakistan 2011 de PIPS brinda un panorama visual de la situación de seguridad del país. Usada con permiso.

También hay una creciente preocupación [en] por el aumento de la violencia sectaria en el país, que ha visto un resurgimiento [en] desde el 2007. Sólo en 2012 ha habido tres casos de asesinatos dirigidos a chiítas. Mientras que el mayor número de enfrentamientos han sido entre las sectas sunitas y chiítas, también ha habido violencia perpetrada dentro de la comunidad suní, por ejemplo, entre los sunitas Deobandi y Barelvi. Huma Yusuf, quien es una conocida columnista para el periódico paquistaní Dawn, escribió en su informe analítico [en, pdf] publicado por el Centro Noruego de Recursos para la Consolidación de la Paz (NOREF):

“La violencia sectaria plantea una grave amenaza a la seguridad y la estabilidad de Pakistán, principalmente debido a que los conflictos entre las principales comunidades religiosas amenazan con involucrar y radicalizar a mayores facciones de la población paquistaní que cualquier otro tipo de militancia.”

Así pues, parece que, si bien hay razones para una cierta cantidad de optimismo cauteloso respecto a las relativas mejoras en la situación general de seguridad de Pakistán, el país aún tiene un largo camino por recorrer en su lucha por resolver con éxito las complejidades de sus problemas sectarios, étnicos y políticos de múltiples facetas, y en ayudar a mejorar la estabilidad y la seguridad, no sólo dentro de sus fronteras, sino de la región.


For further information on the topic, please view the following publications from our partners:

Coping with a Failing Pakistanfrom the Norwegian Peacebuilding Resource Centre (NOREF), Oslo, Norway.

Pakistan After the Floods: Prospects for Stability and Democratic Consolidation,  from the Institute of South Asian Studies (ISAS), Singapore, Singapore.

Security Sector Governance in Pakistan: Progress, But Many Challenges Persistfrom the Centre for International Governance Innovation (CIGI), Waterloo, Canada.


For more information on issues and events that shape our world please visit the ISN’s Security Watch and Editorial Plan Dossiers.